Découverte innatendue sur un timbre

Dans sa dernière livraison, parue au mois d’août, le bulletin philatélique bimestriel Philnews, édité par Ali Ahmed Mohamed Achour dans la localité de Haddada, dans la wilaya de Souk Ahras, a révélé une découverte de taille et pour le moins inattendue sur le timbre-taxe d’une valeur de dix dinars, émis par la poste algérienne le 19 avril dernier.





Le timbre en question, signé par Sid Ahmed Bentounès, n’est autre qu’un scan d’une carte postale intitulée « Alger illuminée -La grande poste », éditée dans les années 1970 par la défunte Société nationale d’édition et de diffusion (SNED) sous le n° 526. La publication a montré, preuves à l’appui, la présence aussi bien sur la carte postale que sur le timbre d’une Fiat 128 blanche, exposée sur le parvis de la grande poste et qui fut à l’époque l’objet d’une tombola organisée par la poste. Cette même voiture visible à la loupe est également présente sur une autre carte postale de la Grande- Poste prise le jour et éditée par la SNED sous le n° 516.




Cette découverte qui demeure insolite dans l’histoire du timbre algérien prouve encore une fois le manque de sérieux affiché par les responsables de la philatélie à Algérie-Poste où le recours aux services de l’ordinateur devient trop abusif au point de mettre aux oubliettes des actes créatifs de certains dessinateurs marginalisés.

c'est lui qui a fait ce timbre, donc c'est lui qui a fait cette bétise.

qui est responsable?, est ce que AP n'a pas concu le timbre sans l'artiste?

quand AP donne le travail aux artistes, elle ne vérifie rien, elle fait confiance aux artistes, elle emet directement le timbre une fois que la maquette est remise

Donc c est l artiste qui ne voulait pas trop se fatigué!!!!
ce sujet merite une enquête
c'est évident, mister Watson.

Une institution qui se respecte, qui plus est Algérie Poste, ne doit en aucun cas tolerer la production et l'utilisation par ses services d'un timbre-taxe plagié ! H'chouma !!

Pour tout algérien qui revendique l'amour de son pays, c'est un devoir moral que d'exiger le retrait de ces timbres.